Michel Yakovleff Origine Parents

Michel Yakovleff Origine Parents Le gnral franais Michel Yakovleff ne manque pas de blagues lorsquil dcrypte le conflit ukrainien pour LCI. Au point quun seul compte Twitter a t cr pour les agrger tous. Il discute du systme militaire suisse et pourquoi la France devrait ladopter dans une interview avec Watson.

Michel Yakovleff Origine Parents – Le général français Michel Yakovleff ne manque pas de blagues lorsqu’il décrypte le conflit ukrainien pour LCI. Au point qu’un seul compte Twitter a été créé pour les agréger tous. Il discute du système militaire suisse et pourquoi la France devrait l’adopter dans une interview avec Watson.

Le général d’armée Michel Yakovleff, aujourd’hui à la retraite après avoir servi comme légionnaire et petit-fils d’un soldat russe ayant fui le pays en 1918, apparaît sur LCI en tant qu’expert du conflit en Ukraine. Ce meilleur étudiant français, qui n’a apparemment jamais de français dans sa poche, a eu l’idée d’un compte Twitter appelé “La Punchline de Yakovleff”, qui, selon lui, n’est pas le sien.

Ayant entendu parler de l’histoire “héroïque” de l’armée suisse et constaté les “besoins massifs en hommes” de l’armée ukrainienne face à l’agresseur russe, il souhaite apporter le modèle “école des recrues/cours de répétition” à France. Le général Yakovleff est affilié au gouvernement en tant que membre de l’Institut d’études avancées de la défense nationale (IHEDN).

Général Michel Yakovleff : Pour moi, c’est le symbole durable d’une époque héroïque : la mobilisation de l’armée suisse pendant la Seconde Guerre mondiale. Hitler s’est abstenu d’envahir les Suisses parce qu’il avait peur de s’impliquer dans quelque chose de trop compliqué.

En 1976, j’ai répondu à l’appel à servir mon pays et j’ai rejoint l’armée française. C’est là que je me suis lié d’amitié avec des Suisses. Pendant les années de guerre froide, les défenseurs suisses étaient une force massive qui avait reçu une formation et un leadership de premier ordre.

Oui. Je suis moi aussi un descendant de la cavalerie (le terme français pour “troupes aveugles”), et en 1995 je suis allé au dépôt d’armes de Thoune, où se trouve le centre d’entraînement de l’infanterie mécanisée. L’entraînement sur les chars, en l’occurrence le Leopard 2, était à la hauteur de celui effectué en France et, dans le cas de la Suisse, en coopération avec les forces armées de la Suède neutre, qui était également armée du char allemand à l’époque. .

J’avais une grand-tante née et morte en Suisse. Je la voyais chaque fois que j’avais besoin de jouer. Je me souviens avoir senti un bouquet étiqueté “Défense civile”, qui, autant que je m’en souvienne, était distribué aux jeunes mariés avec la Bible familiale.

Ce manuel a été écrit avec la guerre froide à l’esprit, et il était rempli d’informations utiles telles que comment se protéger d’une explosion nucléaire, comment gérer les approvisionnements en eau contaminée, comment gérer les réserves alimentaires de votre famille, comment faire la rotation de vos approvisionnements (sachez que les pâtes ne tiennent pas plus de 12 mois dans le garde-manger), comment jouer à la loterie et autres jeux de hasard, etc. La fin de la guerre froide a signifié la fin d’un bouquin complet.

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Il est actuellement débattu en France de renforcer ou non l’armée française en augmentant sa taille et ses effectifs. Notre force terrestre professionnelle se compose de seulement 106 000 soldats, donc notre effectif militaire disponible est limité. Même si une personne qui quitte l’armée est toujours joignable pendant encore cinq ans.

Au total, 250 000 hommes servent dans les forces armées françaises sur terre, dans les airs et sur mer. L’effectif de la force terrestre est ainsi égal à celui de l’armée suisse après mobilisation, soit environ 106 000 hommes. Ajoutez encore 20 000 civils à ce nombre.

Maintenant, le débat est de savoir s’il faut ou non augmenter la taille de la composante de réserve de la force terrestre permanente de 40 000 à 80 000 membres. Les appelables susmentionnés sont désormais les forces de réserve, composées à la fois de militaires réguliers et de civils qui se sont regroupés en formation pour former une véritable force de réserve.

Oui, cette armée conscrite compléterait l’armée professionnelle en servant dans la réserve. Cela donnerait à l’armée française une plus grande force en nombre et en profondeur.

Il y a des civils qui suivent une formation militaire et retournent ensuite à la vie civile tout en maintenant des liens avec l’armée. Vous pouvez mettre en évidence votre diplôme sur votre CV, comme le diplôme d’officier si vous avez atteint ce grade.

Vous recevrez une reconnaissance sociétale pour les sacrifices que vous avez faits en servant dans l’armée. Les entreprises sont tenues par vos lois de libérer les employés qui doivent répéter une formation. Ainsi en va-t-il jusqu’à ce que la société l’accepte enfin.

Oui, et votre modèle de service public fonctionne très bien. J’ai l’impression que votre approche est plus réfléchie et mieux organisée, et donc plus efficace, que la nôtre. (Réd : la fonction publique suisse fait partie du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche.)

Les questions d’incivilités, de tensions raciales et de débats sur les origines me viennent à l’esprit lorsque je considère la dégradation du tissu social en France. Quand j’étais dans l’armée, j’ai expérimenté la version du monde réel des punaises sociales. Les soldats français étaient toujours fidèles aux forces armées de leur pays.

Il y avait beaucoup d’humour à l’époque, y compris les blagues de Coluche sur les soldats ivres et des films comme “Mais où est la septième compagnie?” et “Les Bidasses en Vadrouille. Tout se faisait dans la bonne humeur dans l’enfance, et ce n’est pas toujours le cas qu’on déteste la personne dont on se moque.

J’ai récemment rejoint la Légion étrangère après avoir obtenu le grade de lieutenant dans l’armée française. J’y suis allé à cause du mythe extrême qu’il représentait. Vingt ans plus tard, je dirigeais le premier régiment étranger de cavalerie à Orange, dans le Vaucluse.

En 1991, j’ai servi comme soldat au sol pendant la guerre du Golfe. Ce n’était guère une guerre majeure aux yeux des Français. Quelques années plus tard, j’ai vécu les guerres ex-yougoslaves en Bosnie et au Kosovo (à l’époque d’Otan) et j’y ai passé plus de deux ans.

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