Que Devient Eric Bruyas – Laissez entrer l’accusé en ce dimanche 24 novembre alors qu’il tente de faire la lumière sur les meurtres de Saint-Andréol qui coûteront la vie à quatre personnes d’une même famille. Au centre de l’attention au lendemain du drame se trouvait Eric Bruyas, le mari de la jeune fille assassinée. Remettez cette affaire sur la table.
Le 30 mai 1995, la maison de la famille Bébien à Saint-Andréol-le-château, Rhône, est détruite par un incendie. La famille de quatre personnes – Vincent, Odette et leurs deux enfants – ne quitte jamais la maison, et pour cause. Des coups de feu ont été tirés, tuant tout le monde à l’intérieur avant que l’incendie ne se déclare. Parce que l’arme du crime, un fusil de calibre 22, n’a jamais été retrouvée, les enquêteurs ont rapidement abandonné la piste du drame familial qui s’est transformé en suicide.
Seule la fille adulte du couple, Samantha, qui vit loin de chez elle depuis un certain temps, a réussi à survivre au massacre. Son étrange comportement après le drame ne manquera pas d’attirer l’attention des enquêteurs. Eric Bruyas, le policier et mari de la jeune fille en couple, est également visé par l’enquête.
Drame familial
Au lendemain du drame, Eric Bruyas a contacté l’agent d’assurance des Bébien, ayant déjà dressé un inventaire complet de leurs biens, bibelots et petits couteaux compris. Quelques semaines plus tard, la moitié masculine de 27 ans du couple assassiné exprime quelques regrets. Il affirme que par « hasard », il est tombé sur les corps des parents et de la progéniture de ses prétendus beaux-parents. Parce qu’il ne voulait pas contrarier sa femme, il a mis en scène le feu dans la maison.
Il reconnaît également que les bouteilles d’essence vides qu’il a découvertes lui appartiennent. Il a également affirmé avoir jeté un fusil à canon crevé dans le Rhin. En cause, les possibles mobiles de ce quadruple meurtre qui sont au cœur de la polémique.
Eric Bruyas et sa famille de cinq personnes (femme et trois enfants) vivaient dans la ville de Givors. Il avait emprunté 30 000 francs à Vincent Bébien pour démarrer une entreprise de chauffage après la faillite de son entreprise d’électricité. Il serait sur les lieux du crime et conduirait le cortège funèbre le jour de l’inhumation, avec sa femme éplorée.
Tribune de Lyon, France – Information La libération lundi de l’homme responsable du quadruple homicide de Saint-Andéol va donner un nouveau souffle à ce qui a été l’une des affaires pénales les plus durables de l’histoire judiciaire récente et de la région lyonnaise. Sa peine de prison à perpétuité a été suspendue pour des raisons de santé.
Il est surnommé « Le Rhône romain » chez les locaux. Le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château, Rhône, quatre membres de la famille Bébien sont découverts morts au domicile familial des suites de multiples blessures par balle. Parmi les victimes figuraient le père, Vincent, 47 ans, la mère, Odette, 46 ans, et deux de leurs trois enfants, Vincent, 21 ans, et Aline, 16 ans.
La maison a été entièrement carbonisée. Eric Bruyas, leur genre, est rapidement soupçonné par la police de vouloir se débarrasser d’eux afin de leur voler leur héritage. Pendant un certain temps, sa femme est également suspecte, jusqu’à ce qu’elle soit blanchie.
En 1999, Eric Bruyas est condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle pour le quadruple meurtre qu’il a commis. De l’intérieur des barreaux, il clame son innocence, affirmant que les hommes masqués qui ont tué sa famille cette nuit-là étaient là les premiers et qu’il n’a mis le feu à la maison que pour secouer sa femme.
En 2011, il a demandé un nouveau procès, mais le tribunal a rejeté sa demande. Une fois qu’Eric Bruyas a pu légalement être libéré en 2017, il a été confronté à des refus répétés de ses demandes de libération.
La maison de Vincent et Odette Bébien a été détruite par un violent incendie le 30 mai 1995 à Saint-Andéol-le-Château, Rhône. Un avertissement est envoyé par les voisins. Les pompiers retrouvent les corps de Vincent et Odette, ainsi que leurs enfants Vincent-Salvador et Aline. Une enquête a été lancée.
Le médecin légiste établit que les Bébien ont été abattus bien avant le déclenchement des incendies. La police pense que le meurtrier connaissait les routines de la petite famille depuis qu’ils ont reconstitué l’emploi du temps de la famille.
Eric Bruyas, 27 ans, le cerveau présumé derrière les meurtres du 30 mai d’un couple Bébi et de leurs deux jeunes enfants à Saint-Andéol-le-Château, Rhône, a été déclaré mort à la prison de Lyon Saint-Joseph hier après-midi.
Des aveux partiels ont été réalisés par Eric Bruyas. Parce qu’il ne voulait pas contrarier sa femme, il a mis en scène le feu dans la maison. 24 heures d’observation l’ont amené à admettre jeudi que les bouteilles d’essence vides qu’il avait trouvées lui appartenaient.
Il a également été révélé qu’il avait lancé une carabine à canon pivotant et une cartouche de calibre 22 à l’intérieur du Rhône, ce qui, selon les experts, était l’arme du crime dans une fusillade à quatre personnes. Après avoir été emmené au bord de la rivière par la police, il a donné jeudi soir l’emplacement approximatif de l’endroit où il avait jeté l’arme qui aurait été utilisée dans le crime, qui a été découvert vendredi matin.
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