Warda Anwar Origine – C’est toujours un plaisir de rejouer au Maroc. C’est la terre de ma naissance, la terre de mes ancêtres. Je suis heureux de m’être fait de nouveaux amis dans ce domaine. En tant qu’artiste franco-belge, j’ai passé beaucoup de temps dans les deux pays. J’ai aussi l’impression d’avoir ma place ici en tant qu’artiste. J’ai pu avoir un aperçu des scènes artistiques et musicales européennes que je peux rapporter aux États-Unis sous la forme d’une nouvelle perspective.
En fait, ce n’est pas la première fois que je me produis au Maroc. J’ai fait quelques mini tournées par le passé, notamment pour la Fédération de Wallonie-Bruxelles et dans certains bars et restaurants de Casablanca. Cependant, je n’ai jamais joué dans un festival ou sur une grande scène dans ce pays auparavant, j’explore donc également mes options à cet égard.
J’ai quatre rendez-vous formels à Tanger, Casablanca, Agadir et Rabat et deux rendez-vous informels et deux jam sessions. Cela pourrait être l’occasion d’augmenter la fréquence des visites futures. En fait, vous êtes ici pour présenter votre nouvel album, intitulé “Lights”. Quel genre de style musical a-t-il ?
J’ai travaillé avec Sony Music France et le label américain Colombia Records pour sortir mon premier album, Beautiful Sunrise. Plus de 22 millions de personnes l’ont écouté sur le service de streaming musical Spotify, et les retours ont été extrêmement positifs. Après cela, j’ai été approché pour faire un deuxième album, cette fois par le label ThinkZik, distribué par Universal Music.
Nous avons collaboré avec des directeurs artistiques français pour créer un son folk, blues et pop unifié. La guitare et le clavier sont proéminents, avec des sons de style années 60 et 70. Dans le cadre de mes dates de concerts au Maroc, c’est précisément ce que je suis venu présenter.
Nous avons sorti notre premier EP, qui comprend cinq chansons, sur tous les services de streaming. La chanson « How can I do » apparaît également sur mon premier album. Cette chanson n’a jamais été censée être incluse, mais elle est devenue un succès majeur à part entière. Je me souviens de l’avoir écrit sur un bout de papier alors que j’étais assis par terre à la gare de Casablanca, avant de monter à bord d’un train pour Tétouan.
Il était six heures du matin. Motivé, je suis entré dans un café près de la gare et j’ai demandé du papier et un crayon. Et la chanson est née ainsi, même si j’hésitais à l’inclure sur le deuxième album. Au final, cette chanson lente cumule à elle seule près de 15 millions d’écoutes.
Nous avons tous tiré notre inspiration musicale de notre éducation et des gens et des choses qui nous entourent. Mon père adorait tous les disques de Woodstock, Jimi Hendrix et James Brown des années 60 et 70 et pouvait réciter chaque mot. Ma mère écoutait beaucoup de musique latine (Julio Iglesias, BB King, etc.) et occasionnellement de la musique arabe (Warda, etc.). Mais jusque-là, je connaissais très peu la musique marocaine.
C’est la première fois que je partage ce souvenir significatif : j’étais tellement captivé par les rythmes et le chant qu’ils m’ont fait découvrir le répertoire traditionnel de notre famille et je l’étudie depuis.
J’ai rencontré ensuite plusieurs fins connaisseurs de gnaoua, d’autant que Tétouan, comme tout le nord du Maroc, est connu pour avoir un courant musical gnaoui très spécifique à la région. Nous avons commencé à jouer en équipe. Au début, j’étais la chanteuse anglaise résidente de la chorale et chargée d’organiser les collaborations avec les ensembles locaux.
Le club du Wydad Casablanca en a fait l’annonce sur ses pages de réseaux sociaux. Le footballeur Oussama Falouh, âgé de tout juste 24 ans, est décédé. Le 11 octobre, il a eu un terrible accident de voiture. Il est décédé après avoir subi des soins intensifs pendant trois semaines dans un hôpital de Casablanca pour ses blessures.
Le parcours du jeune homme s’est également accompagné de séjours en France, comme le souligne RMC Sports. Même s’il n’a pas encore disputé de match en Ligue 1, son nom est déjà cité sur les feuilles de match d’Angers. Il “est passé par la réserve du SCO, la réserve de Strasbourg, et a disputé 22 matchs de National et deux de Coupe de France avec l’US Avranches”, comme disent nos confrères.
L’équipe d’Angers SCO s’est rendue sur le réseau social X pour rendre hommage à un ancien joueur. L’ancien Angevin est décédé ce jeudi à l’âge de 24 ans après avoir été victime d’un tragique accident de voiture il y a trois semaines. Un message possible serait le suivant : “Angers SCO présente ses condoléances à la famille et aux amis du défunt.”
Colère SCO a appris le décès d’Oussama Falouh avec une profonde tristesse. L’ancien Angevin est décédé ce jeudi à l’âge de 24 ans après avoir été victime d’un tragique accident de voiture il y a trois semaines. Dans une affaire portant sur le droit de publier l’image d’un policier, le conglomérat médiatique Bild a réussi à faire condamner l’Allemagne par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation de sa liberté d’expression.
Dans une affaire impliquant le droit de publier l’image d’un policier, le conglomérat médiatique Bild a réussi à faire déclarer l’Allemagne coupable de violation du droit de ses citoyens à la liberté d’expression devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Le tribunal de Strasbourg a condamné Berlin à verser au groupe allemand 12 000 euros de frais et honoraires.
L’incident a débuté en 2013 lorsque des vidéos ont été publiées sur le site bild.de montrant un incident survenu dans une discothèque de Brême (nord), au cours duquel un individu avait été brutalisé par des policiers. Après une plainte de l’un des policiers, le système judiciaire allemand a ordonné à Bild de supprimer la vidéo afin de protéger l’identité du policier.
L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme garantit la liberté d’expression, et le CEDH a estimé que la décision du tribunal allemand violait ce droit dans son arrêt. Cette décision inconsidérée pourrait “conduire à une interdiction inacceptable de toute publication future d’images inédites de policiers dans l’exercice de leurs fonctions” (CEDH), comme l’explique un communiqué. Le Comité des droits de l’homme du Conseil de l’Europe (CEDH) constitue son organe juridique.
Le mystère qui entoure le prometteur attaquant de l’Ajax Amsterdam, d’origine marocaine, Anwar El Ghazi, âgé de 20 ans, a été résolu : il a choisi de jouer pour l’équipe nationale des Pays-Bas. Le natif de Barendrecht l’a annoncé publiquement sur son compte Twitter : « Je suis très content d’avoir été présélectionné avec les Oranges, avec lesquels j’ai choisi de jouer… »
Ce tweet a été envoyé après avoir été convoqué par l’entraîneur pour des matchs amicaux contre le Kazakhstan le 9 octobre et contre la République tchèque le 13 octobre. Un choix qui récompense un excellent début de saison. Anwar El Ghazi est en tête du championnat pour les buts marqués après six journées de la saison d’Eredivisie avec sept buts (1,17 but par match).
Les Lions de l’Atlas jouent depuis quelques jours à “qui gagne, qui perd”.
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Biographie
En 1986, à l’âge de 11 ans, Anouar débute sa carrière de chanteur au sein du label Rallye à Tlemcen, dirigé par Rachid et Fethi. Il débute dans les années 80 avec un style ra qui était populaire à Oran, notamment à Tlemcen et Oran. Il donne le coup d’envoi avec le hit “Nekri Berrah”.
Après ses premiers succès en tant qu’icône nationale, il enchaîne les succès comme Lala laâroussa. Sa musique, notamment “Bi’r Zem Zem”, chanson figurant dans “la ballade d’Anouar”, a connu un énorme succès en Algérie dans les années 1990. Anwar efface les frontières entre les styles musicaux de Tétouan à Bruxelles.
Le musicien belge Anwar, né à Tétouan, connaît un énorme succès sur le circuit des concerts européens depuis la sortie de son premier album studio. Sa capacité à mélanger les styles jazz, funk, blues et pop a attiré l’attention des plus grandes maisons de disques du monde, avec lesquelles il a depuis sorti deux albums. Le musicien est de retour dans son pays natal, le Maroc, pour présenter ses derniers albums.
Ce n’est pas votre première représentation au Maroc, mais vous êtes ici dans le cadre d’une série de concerts organisée par le Cercle belge des lauréats du prix Nobel (CLB). Pourquoi ressentez-vous le besoin de retourner dans votre pays d’origine maintenant ?
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