Abb Pierre Dufour Aujourdhui

Abb Pierre Dufour Aujourdhui Le prtre franais Pierre Dufour, n le 23 avril 1935 Modane, est au centre dun dossier juridique connu sous le nom de LAffaire Pierre Dufour. Lidentification des infractions violentes et sexuelles commises contre des adultes et des enfants de 1960 nos jours a t pour lui un constat

Abbé Pierre Dufour Aujourd’hui – Le prêtre français Pierre Dufour, né le 23 avril 1935 à Modane, est au centre d’un dossier juridique connu sous le nom de L’Affaire Pierre Dufour. L’identification des infractions violentes et sexuelles commises contre des adultes et des enfants de 1960 à nos jours a été pour lui un constat de culpabilité en 2003. Il a été condamné à quinze ans de prison en 2006.

Expériences scientifiques, recettes

Dans les années 1960, Pierre Dufour commence à maltraiter « les enfants de cour, garçons ou filles », en invoquant « sa qualité, de son autorité et de sa notoriété » pour justifier ses actes de violence. Les agissements pédophiles du curé Pierre Dufour ont été portés à la connaissance de Claude Feidt, évêque de l’archidiocèse de Chambéry, Maurienne et Tarentaise, en mars 1992 par l’un des parents des victimes.

En cachant des informations au système judiciaire et en refusant de changer de position, Claude Feidt ne fait pas grand-chose pour dissiper ces affirmations. Le suicide était le moyen probable de décès de la victime en 1997. En 1995, Pierre Dufour fut nommé vicaire épiscopal par l’Évêque Claude Feidt. Une enquête préliminaire ouverte en 1996 n’a donné aucun résultat juridique.

Pierre Dufour a constitué deux importants SDF en décembre 2003, qui l’accusent tous deux de crimes violents. Il a été reconnu coupable de plusieurs chefs de maltraitance d’enfants depuis 1960, dont ceux-ci. Le 11 décembre 2003 s’ouvre son procès pour « violences et agressions sexuelles sur personnes vulnérables par personne abusant de son autorité ».

La procédure

Cinq individus, dont un prêtre, font actuellement l’objet d’un procès au civil devant le tribunal d’assemblée de Chambéry. Les événements survenus avant 1993 ne sont pas considérés comme faisant partie de la preuve prescriptive. Selon l’avocat général, les victimes ont été agressées parce qu’elles “ont frappé à la porte de l’enfer” en sollicitant l’aide du curé, qui les considérait comme des proies faciles.

Afin de transformer l’autre en objet sexuel, ce pervers rusé détruit tout désir qu’il peut avoir. “C’est pour te guérir, ce n’est pas moi qui te touche, c’est Dieu”, informe-t-il la victime, en réponse à la demande de la victime que le curé explique son comportement.

Au nom des victimes de Dufour, “Elles attendaient de trouver de la bonté, du désintérêt, de l’écoute et des conseils”, a déclaré Laurent Ulrich, alors archchevêque de Chambéry, lors du procès, en guise de geste de compassion. Par conséquent, le moment choisi pour l’événement a encore plus choqué le public. Par ailleurs, le témoignage de l’évêque chrétien nous dérange beaucoup.

Après une double mesure de sûreté et une peine de 15 ans de prison pour « violences et agressions sexuelles », Pierre Dufour a été libéré en mai 2006. Le vicaire de Saint-Jean-de-Maurienne, âgé de 71 ans, Pierre Dufour, purge depuis quinze ans de prison. Il était recherché pour son implication dans au moins dix affaires de « violences et agressions sexuelles » contre des femmes. Ils ont tous été impliqués dans des batailles judiciaires, cinq d’entre eux.

Au moins 216 000 victimes ont été révélées en octobre 2020 par la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église catholique, après sept décennies d’horribles abus perpétrés par le clergé. Pierre Dufour, prêtre de la région de Maurienne, et d’autres agresseurs sont restés impunis par l’Église jusqu’en 2003, date à laquelle deux officiers supérieurs des FDS l’ont accusé d’agression. Outre d’autres crimes perpétrés sur des mineurs depuis 1960, l’archevêque de Rome a publiquement reconnu sa culpabilité. Le tribunal des assistants de Chambéry a condamné Pierre Dufour à quinze ans de prison en 2006.

Un ancien vicaire épiscopal de Savoie risque quinze ans de prison en France

Montbéry, le 28 septembre 2006. La cour d’appel de Chambéry a condamné, un vendredi apicole, une peine de 15 ans d’isolement pénal à l’encontre de l’ancien vicaire épiscopal savoyard Pierre Dufour, âgé de 71 ans. De nombreuses preuves font état de ses « violences et agressions sexuelles » dirigées contre des mineurs adultes. Lors de ses essais, l’abbé de Saint-Jean-de-Maurienne Pierre Dufour a déclaré : “Aujourd’hui, je sais dans mon cœur à quel point j’aurais pu le faire.”. Son avocat a précédemment déclaré que son client ne ferait pas appel de la décision.

L’homme d’Église était accusé d’agressions physiques et sexuelles par au moins dix jeunes adultes, dont cinq pacsés civilement. L’abbé Dufour est accusé d’avoir abusé sexuellement de mineurs alors qu’il était jeune prêtre, et cette semaine le tribunal a entendu des arguments sur ses relations extraconjugales qui ont commencé en 1993 et sur les événements survenus dans les années 1960.

Le 1er janvier 2015, la Médiathèque catholique Cath-Info a obtenu les droits auprès de l’agence apic-kipa. Il y a un prix à payer pour la diffusion de SMS. Aucune information ne sera communiquée à d’autres bases de données. L’abbé Pierre Dufour, 71 ans, vicaire épiscopal de Saint-Jean-de-Maurienne, est jugé aujourd’hui pour “violences et agressions sexuelles sur personnes vulnérables…” devant un tribunal judiciaire de Savoie.

Abbé Pierre Dufour Aujourd’hui

En effet, le dévot sévia pendant plus de quarante ans dans la vallée de la Maurienne, capitalisant sur l’impression favorable qu’il dégageait en tant que prêtre et inspirant la foi dans nombre de ses orailles. L’arrestation de cet éminent membre de la communauté catholique de Savoie, en 2003, a stupéfié et laissé perplexe plus d’un.

“Un côté soleil et un côté noir”

Ce n’est qu’en 1963 que les agressions contre des mineurs sont apparues pour la première fois dans les archives. Afin de pouvoir nous décerner une médaille à la fin du catéchisme, il a souhaité que nous restions. Les enfants en détresse devaient eux aussi supporter les attaques du prêtre. L’évêque de Chambéry, Mgr. Ulrich, concède désormais que l’abbé Pierre Dufour s’est comporté comme « un prédateur montrant un côté jour et un côté nuit ».

Avant son interpellation, le prêtre avait agressé des jeunes hommes en situation précaire. Afin de réaliser ses ambitions, il a proposé les poules et en a tiré profit. Pour justifier les fellations et autres sodomies qu’il avait infligées à ses victimes, il leur disait que cela les aiderait à « retrouver la paix intérieure ». Pierre Dufour n’a pas hésité à recourir à la menace pour rester caché : « Il m’a dit : “Je te casserai la gueule si tu parles” », confie un jeune agressé.

De plus, le prêtre soudoyait financièrement certaines de ses victimes pour qu’elles gardent le silence. En réalité, les enquêteurs ont été confondus avec Pierre Dufour puisqu’ils ont trouvé des preuves de mandats confiés à un SDF. Moi “C’est l’un des pires manipulateurs pervers que j’aie jamais rencontré” selon Cathy Richard, avocate des parties civiles. Il affirme que le vicaire affirmait que ses victimes étaient des sujets consentants. L’accusé a été caractérisé par les psychiatres comme « un homme intelligent, doté d’une personnalité perverse avec un mécanisme de déni par rapport à la gravité des faits ».

En 1995, les parents de Sébastien avaient déjà saisi la justice en portant plainte contre le curé. L’attitude de l’abbé Dufour avait été condamnée par leur fils. Or, comme le procureur d’Albertville avait présenté leur dossier en 1998, « l’enquête très approfondie (n’avait) pas permis d’établir que le prêtre avait commis des attouchements sur leur fils ». Sébastien, âgé de vingt ans, se suicide au même moment. La production du drame a débuté en 1997. Le père du jeune homme, Alain Gilodi, raconte que “Sébastien avait déjà fait sa première tentative de suicide” en 1991. “S’il vous plaît, ne laissez pas Dufour venir le voir”, nous a-t-il plaidé.

Dans une lettre adressée à Mgr. Claude Feidt, évêque de Chambéry en mars 1992, les parents de Sébastien ont critiqué les agissements du curé. “Je le connais depuis trente-six ans et je travaille avec lui depuis douze ans”, avait argumenté l’évêque lorsqu’on lui avait demandé s’il croyait l’abbé coupable. Il termine en disant : « Depuis votre lettre, je prie tout spécialement pour votre fils et pour vous ». Le curé a ensuite été invité par Sébastien à rencontrer les parents de Sébastien « pour lui parler franchement ».

Après le rejet de sa poursuite civile contre Dufour, Alain Gilodi affirme catégoriquement que Dufour est responsable de la mort de son fils. Il l’a ruinée émotionnellement et mentalement quand elle avait quatorze ans. En outre, les dirigeants ecclésiastiques ont choisi de garder le silence, même s’ils avaient le pouvoir d’éviter d’innombrables pertes supplémentaires. “La justice n’avait rien trouvé contre Pierre Dufour” dans les années 1990, selon l’actuel évêque de Chambéry, Mgr. Ulrich, qui conteste l’analyse.

Les six gendarmes de Chambéry (Savoie) chargés de l’enquête sur les aberrations sexuelles du vicaire Pierre Dufour viennent de démarrer leurs travaux qui comprendront analyses ADN, auditions, expertises psychologiques et études de perquisition. C’était “un travail de titan !” finalement, estime le lieutenant-colonel Thierry Cailloz.

En réponse à deux accusations significatives des SDF, qui l’accusent d’agression lors de son action caritative auprès d’eux cet été, le père Dufour, 68 ans, a été interrogé le 9 décembre à Saint-Jean-de-Maurienne. Il a silencieusement reconnu les faits réprimandés tout en gardant un regard vigilant. Albertville Parquet déclare dans un communiqué : « Il usait de sa qualité, de son autorité et de sa notoriété ». À la suite d’un dépistage pour agressions sexuelles et violences, l’abbé Dufour a été placé en détention au centre de détention d’Aiton.

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