Cline Dumerc Et Sa Compagne Pauline

Cline Dumerc Et Sa Compagne Pauline Tous les jours jusquau samedi 26 septembre et jusquau premier match de la Ligue fminine de Bourges Basket au Palais des Sports du Prado face Roche Vende, leberry.fr vous propose de dcouvrir chaque joueur de tango de la saison 2020-2021 travers un questionnaire identique sur basket-ball

Céline Dumerc Et Sa Compagne Pauline – Tous les jours jusqu’au samedi 26 septembre et jusqu’au premier match de la Ligue féminine de Bourges Basket au Palais des Sports du Prado face à Roche Vendée, leberry.fr vous propose de découvrir chaque joueur de tango de la saison 2020-2021 à travers un questionnaire identique sur basket-ball féminin. Finale de la série de Pauline Astier (la jeune meneuse).

Quel jouet français préférez-vous ?

Sandrine Gruda est époustouflante. Elle est toujours furieuse, mais j’aime son état d’esprit et son jeu. Elle est tenace, elle a conscience de son volonté. J’adore également l’image qu’elle produit à l’extérieur du terrain.

Votre athlète international préféré ?

Après trois années à l’Asvel, NDLR, l’internationale meneuse belge Julie Allemand revient cette saison à Lattes/Montpellier, et je l’adore. Elle ne pense que à obtenir des points. J’aime beaucoup son style de jeu et je pense que c’est un bon passeur. Ce qu’elle fait actuellement dans la WNBA est incroyable ; J’ai vu quelques vidéos et je les apprécie vraiment. Je pourrais aussi citer Laia Palau, qui n’est plus parmi nous…

Votre joueur français préféré dans l’histoire du basket ?

Céline Dumerc sera citée. Quand j’étais petite, j’étais fan d’elle. Nous avons échangé des maillots lorsqu’elle jouait encore à Bourges ; Je portais le même numéro 9 qu’elle. En tant que petite fille, je l’aurais beaucoup admirée car c’est une playgirl. Tout le monde disait vouloir être comme Céline Dumerc et faire tout ce qu’elle faisait. C’était un peu le rêve de tout jeune, Céline Dumerc. Je suis le premier. Je me souviens de l’avoir regardée jouer dans ma verrière, un peu comme Isa Yacoubou. Maintenant j’ai l’opportunité de jouer avec Isa ou contre Céline Dumerc…

Un de vos meilleurs amis basketteurs ?

Il y a Sara Roumy, avec qui j’ai longtemps joué quand on était petite, et qui est désormais à l’Insep. En équipe de France U16, nous étions très proches et partagions beaucoup d’expériences. Mais il y a aussi toutes les filles du centre de formation Bourges Basket ; par exemple, je suis très proche d’Eva Faillot et de Mayé Touré (qui a quitté l’équipe à l’intersaison, NDLR). Nous sommes tous les deux arrivés au centre de formation en même temps que Mayé, et nous y avons passé nos premières nuits en parfaits inconnus.

Que signifie votre numéro de loterie ?

J’ai donc opté pour le numéro 18 car c’est celui que j’ai utilisé lors de mes premiers matches avec l’équipe professionnelle l’année dernière, que ce soit en LFB ou en Euroligue. J’ai gardé le maillot numéro 18 car c’est celui que j’ai utilisé pour marquer mes premiers points. Hormis le Prado est-il votre théâtre européen préféré ?

Il y en avait un qui ne me plaisait vraiment pas ; c’était celui de Cukurova (Turquie). C’était étrange. Les arènes étrangères où je jouais avaient souvent des sièges vides… Je citerai la salle d’Ekaterinbourg parce qu’elle m’a marqué ; c’était tout nouveau pour moi et je me sentais un peu comme une petite fille. Même les présentations des équipes étaient excellentes. Ça a fait son effet parce qu’il y avait du monde.

Quel mot pour décrire l’effectif du Bourges Basket 2020-2021 ?

Longue vie! Tous les temps, on éprouve une véritable joie de vivre. Un sourire est toujours le bienvenu, c’est sympa.

Votre match le plus attendu de la saison ?

Pour avoir la chance de voir de la famille (elle est originaire des Hautes-Pyrénées, NDLR), je choisirais Tarbes. L’année dernière, je n’avais pas pu me rendre au Quai de l’Adour avec le groupe professionnel puisque nous avions deux matchs programmés avec la NF2 ce week-end. Tarbes sera donc cité. J’ai même fait jouer ma mère. Six athlètes professionnels se déclarent homosexuels dans un documentaire pour Canal +.

Le documentaire “Faut qu’on cause”, diffusé samedi soir sur Canal+, a donné Céline Dumerc (basketeuse), Astrid Guyart (escrimeuse), Jérémy Clamy-Edroux (rugbyman), Kévin Aymoz (patineur artistique), Amandine Buchard (judokate) , et Jérémy Stravius (nageur) font leurs débuts médiatiques.Dans le documentaire “Faut qu’on cause”, diffusé samedi soir sur Canal+, six sportifs de haut niveau: la circonféreuse Céline Dumerc, l’escrimeuse Astrid Guyart, le rugbyman Jérémy Clamy-Edroux, Le patient artistique Kévin Aymoz, la judokate Amandine Buchard et Nether Jérémy Stravius se sont révélés gays.

Le test des vêtements

C’est l’occasion pour eux de partager les défis auxquels ils ont été confrontés, notamment dans leurs milieux sportifs respectifs. “Certaines filles avaient peur de prendre une douche avec nous”, raconte Céline Dumerc, ex-capitaine de l’équipe de France de basket, avec une pointe de tristesse. Je ne scanne pas toutes les filles. “Je suis juste jalouse du vainqueur”, déclare la vice-championne olympique, qui est en couple avec une prénommée Pauline.

Céline Dumerc Et Sa Compagne Pauline

La scénariste Astrid Guyard évoque également la “pression d’un vestiaire avec des gens qui se questionnent sur leur sexualité” et la difficulté de sortir “lorsque ça fait dix ans qu’on entend des blagues homophobes et qu’on en rigole avec les d’autres.” Elle a dit que sa compagne de toujours Julie “aménuet qu’on peut être heureux dans la vie” et qu’ils vivent ensemble. Julie est la championne du crime.

Selon le rugbyman Jérémy Clamy-Edroux, ces sportifs étaient très sensibles aux vestiaires et à l’heure de la douche. Selon le pilier Rouen Normandie Rugby, il prend sa douche soit face au plafond, soit adossé au mur. Sa manière de « poser des barrières pour que rien ne soit mal compris ».

Regarder les autres

Kevin Aymoz, patineur artistique, a connu une adolescence difficile et a été expulsé à deux reprises pour ne pas avoir “supporté plus le regard des autres”. Le quadruple champion de France s’est confié à Arnaud Bonnin et Lyes Houhou : “L’homosexualité hantait mes idées ; j’essayais de ne pas être trop maniéré.”.

L’infirmier de son ancien ami, Jérémy Stravius, craignait que ses relations ne se modifient en cas de grossesse, alors il a caché son homosexualité. “Je voyais bien certains dire : ‘On est dans le vestiaire, il va me tuer.'” Après huit ans de mariage, Jérémy Stravius croit toujours “le chemin ne fait que commencer” mais que “sur un droit de rêver d’être accepté comme on est.”

Longtemps, la judoka Amandine Buchard a préféré mentir et dire qu’elle avait “un copain”, mais il y a trois ans, elle s’est enfin manifestée dans le Parisien. Vainqueur de l’Eurocoupe avec Bourges et désigné meilleur jeune joueur de la LFB la saison dernière, le Tarbaise d’une vingtaine d’années rêve désormais de disputer les Jeux olympiques d’été de 2024 à Paris. Ils ont tenu leur promesse de se battre aux côtés de leur complice, la cycliste Marie-Divine Kouamé.

Si vous deviez dresser un podium des meilleurs moments de cette saison 2021-2022…

Je prendrai l’Eurocup le 1er. Le point culminant était à couper le souffle et le décor du Prado était absolument magique. En deuxième position, nous avons le titre de champion de France. C’est toujours un moment magique, même s’il a été acheté à l’extérieur. Et puis le troisième, l’équipe française de fin d’études. Pour moi, c’était complètement inattendu. Je ne m’attendais à rien du tout ; J’étais avec les U20, et j’ai reçu un mail au milieu de deux étapes.

Et votre contrat au Parquet du Prado va-t-il être prolongé suite à la victoire contre Angers ? J’avais presque oublié celui-là ! Le fait d’avoir ma famille là-bas a ajouté une couche supplémentaire d’émotion. Hé, je l’ai rencontrée au numéro quatre… Terminer sur une note négative, ne pas avoir participé à la Coupe du Monde en Australie…

A cela s’ajoute la défaite face à l’Accor Aréna en finale de la Coupe de France après deux prolongations. Même maintenant, elle laisse un fort arôme de parfum. J’attendais un peu la Coupe du monde. J’ai eu une fracture de la clavicule deux jours avant l’annonce, alors j’ai gardé un peu d’espoir, mais je ne me suis pas trop laissé emporter par mes délires. J’avais les yeux écarquillés. Vous avez évoqué votre première sélection à Marseille en disant : “j’étais comme une petite fille qui arrive dans un magasin de bonbons”…

Quand je suis revenu dans l’équipe, c’est justement ce sentiment qui m’a motivé. Malgré les fréquents croisements de chemins, je connaissais toutes les têtes mais pas tous les acteurs (à l’exception de Sarah (Michel) et Alix (Duchet)), et je restais bouche bée à chaque détour.

Quels souvenirs gardez-vous de ces quatre premières sélections ?

J’ai eu l’occasion de participer (6 points) à la première sélection marseillaise, qui s’est soldée par une victoire éclatante (87-52). Et le match à Pau. C’était assez inspirant de chanter la Marseillaise dans un endroit que je connais bien, d’autant plus que toute ma famille était là. Si je devais retenir un souvenir à souligner, ce serait les bonnes choses que ces sélections m’ont apportées.

Depuis le retrait de Céline Dumerc en 2017, le rôle de meneuse est largement partagé au sein de l’équipe de France. A quel point êtes-tu lié à Céline? Cette sélection a permis de moi de rencontrer elle cet été. Nos secrets n’avaient jamais été rendus publics jusque là. Elle a gagné ses premiers titres à Bourges, et elle est née à Tarbes, tout comme vous. Il est impossible d’éviter les comparaisons…

Même si notre palmarès est inégalé, beaucoup de gens le font. Il y avait Bourges, et on jouait dans le même club et au même poste, petites. Oui, je comprends que nous essayons de nous remettre ensemble. “Mais je commence à peine…”

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