Geraldine Dalban Moreynas Mari

Geraldine Dalban Moreynas Mari Il ny a quun seul narrateur, et lhistoire est simple et sans fioritures : elle raconte son histoire, y comprend les lettres quelle a reues et envoyes, ses espoirs et ses rves pour son amoureux, et son incertitude quant lamour qui frappe sa porte aujourdhui. Il y a

Geraldine Dalban Moreynas Mari – Il n’y a qu’un seul narrateur, et l’histoire est simple et sans fioritures : elle raconte son histoire, y comprend les lettres qu’elle a reçues et envoyées, ses espoirs et ses rêves pour son amoureux, et son incertitude quant à l’amour qui frappe à sa porte aujourd’hui. Il y a beaucoup de scènes sexuelles, mais pas assez de romance, à mon avis.

Une histoire agréable qui ne me marquera pas car il n’y a aucun événement particulier qui ait pu apporter du mouvement ou un suspense réel. Ah non. Débutante sa carrière de journaliste, Géraldine Dalban-Moreynas prend le poste de responsable de la communication au ministère de la Cohésion sociale et de l’Équité en 2006.

Elle crée son cabinet de relations publiques et de communication en 2008, qu’elle revend en 2018 pour poursuivre une nouvelle passion : la décoration d’intérieur. Elle ouvre une boutique à Montmartre et crée M.conceptstore, une aventure de charme entre Paris et Marrakech. Un premier roman efficace, captivant et captivant sur une histoire d’adulte irrésistible et destructrice. La réflexion perspicace de Géraldine Dalban-Moreynas sert efficacement l’entreprise.

Concentration affective et adultère

Cela fait quatre ans que la narratrice et son compagnon vivent ensemble. Elle dit « oui » lorsqu’il l’emmène à New York pour lui proposer le mariage. Je dis oui à leur emphygmation ensemble, ou oui à leur union, ou oui au meilleur. Mais lorsque la narratrice rencontre son nouveau voisin, un homme récemment père, c’est le pire qui arrive, malgré toute l’attente.

C’est l’électrification du corps et des sens pour elle comme pour lui. La ferveur infectée par la terreur. Ils sortent tous les deux. Les deux devront emprunter des chemins différents, non reliés. Les deux devraient… C’est cela qu’ils répètent encore et encore. Mais l’attirance irrésistible qu’ils éprouvent l’un pour l’autre affaiblit peu à peu leur devoir.

Commence alors une lutte terrible et angoissante entre le désir et la raison, les émotions et le raisonnement. Cet homme, très attaché à sa fille et qui la perdrait en cas de divorce, saura-t-il s’en prendre à cette jeune femme ? Jusqu’où est-elle prête à aller pour vivre un amour dans lequel elle espère que son adversaire l’emportera ? Quelle est la durée pendant laquelle elle continue à mentir à elle-même ?

Une lecture captivante

Un roman rarement évocatrice, Géraldine Dalban-Moreynas nous livre. La tension narrative est si forte que le lecteur devient aussi absorbé par l’histoire que l’héroïne l’est par son amour. Une dépendance affective de plus en plus forte se dessine au fil des chapitres. Toujours beaucoup destructrice. L’auteur démontre avec habileté et justesse la complexité de l’entrepreneuriat émotionnel, la lutte acharnée entre l’esprit et le cœur, entre la raison et les émotions.

Car la jeune femme sait dès le départ que son amoureux ne la quittera jamais, ni elle ni sa fille. Cependant, l’idée de ne plus éprouver ce désir est trop douloureuse à saisir pour lui, et cette réalité est trop douloureuse à accepter. Ensuite, chaque fois qu’elle voit ou entend son amant, sa détermination à mettre fin à la relation s’effondre.

La jeune femme continue de céder à l’illusion du paradis qu’est leur relation, à la manière d’un toxicomane qui connaît et redécouvre les effets négatifs sur sa santé mais ne résiste pas au paradis artificiel d’un nouveau shot. Jusqu’où l’amour peut-il nous mener ? Jusqu’où sommes-nous prêts à mettre sa intégrité en danger ? Une histoire enchantante qui se met en apnée.

Une mariée française n’a pas enlevé son énorme robe blanche et s’est dirigée directement vers l’aéroport après son mariage en plein Paris, toute pressée de commencer sa lune de miel. Après son mariage parisien le 10 novembre, Géraldine Dalban-Moreynas s’est apparemment rendue à l’aéroport Charles de Gaul pour embarquer sur un vol à destination de Venise.

Air France a publié une vidéo de Dalban-Moreynas sprintant à travers les terminaux tandis que la longue traîne de sa robe couture flotte derrière elle. L’entrepreneur et passionné de voyages Dalban-Moreynas a partagé la vidéo et d’autres médias sur Instagram avant de l’envoyer à la compagnie aérienne. Le propriétaire d’une entreprise de concepts de luxe, âgé de 49 ans, a écrit : “Si vous cherchez l’homme de votre vie, n’arrêtez jamais d’y croire.”

Pour la simple raison qu’hier soir, lors de notre promenade jusqu’à l’hôtel le long du canal de Venise au clair de lune, nous avons déclaré : « Nous n’avons jamais été aussi heureux que lorsque nous sommes amoureux. » La créatrice de la robe en question est Milla Nova, dont les tenues coûtent entre 2 000 et 8 800 dollars.

Utiliser la méthode de Dalban-Moreynas était un moyen de garantir la sécurité d’une robe de mariée pendant le transport aérien. Pour le conserver en sécurité dans un bagage enregistré et hors de vue, les personnes qui préfèrent ne pas attirer l’attention sur elles devraient toujours voyager avec lui dans une housse à vêtements opaque ou noire. Emporter un défroisseur avec vous lors d’un vol aidera à éliminer les rides qui auraient pu se former si vous prévoyez de le porter à votre destination.

Geraldine Dalban Moreynas Mari

Avant de devenir responsable de la communication du ministère de la Cohésion sociale et de l’Équité en 2006, elle a débuté sa carrière comme journaliste pour diverses publications. Elle crée sa société de relations publiques et de communication en 2008, qu’elle revend en 2018 pour poursuivre une nouvelle voie d’intérêt : la décoration d’intérieur. et Géraldine Dalban-Moreynas le sait. Après le succès de « On ne meurt pas d’amour » (Plon, 2019), lauréat du Prix du Premier Roman et traduit en plusieurs langues, cette ancienne journaliste et conseillère en communication signe son deuxième roman.

Ce sont ces Romains-remèdes qui coassent sur les plaies que l’on croyait cicatrisées. Une partie d’elle voulait juste être heureuse. “Elle s’en souvient très bien parce qu’il y a des jours qui bouleversent vos vies et qui reste là, quelque part, gravés”, poursuit le pitch sans plus attendre. Cela ne disparaîtra pas. En tout cas, ça ne reste pas immobile.

Il est revenu vers 21 heures. Peut-être un peu plus tôt. Elle se souvient qu’elle était allongée sur le lit de leur chambre, en train de lire sous la maison en briques rouges isolée au pied de la montagne. Il y a quelques mois, ils avaient émigré ici avec les enfants. Solitude totale. Il avait ouvert la porte, peut-être avec un peu plus de force que d’habitude.

Assis au bord du lit, il s’était tourné vers lui et lui avait dit : “Je veux qu’on arrête” en regardant ses escarpins. Y a-t-il quelque chose que vous souhaitez arrêter ? Pas de tennis ? La télé? Nous. Dans cette histoire trépidante, écrite avec vivacité, aux phrases brèves et percutantes, il faut forcément se projeter. Nous ne vous en dirons pas plus ; Si ce n’est pas que “Elle voulait juste être heureuse” est un livre qui ne vous lâchera pas, il vous mènera par la main jusqu’au bout.

Présentation

Él à trente ans. Elle travaille comme journaliste. Elle vient de finir d’emménager avec son petit ami dans un loft. Elle devrait se marier en juin. Exactement le 26. Dans la trentaine, il… Lui, sa femme et sa petite fille viennent d’emménager dans le magnifique appartement du deuxième étage en face de sa maison.

Sous le porche de l’entrée, ils se retrouvent pour la première fois un dimanche de novembre. Il s’accroupit. Elle sentira tout son corps frémir en le regardant entrer dans la pièce à reculons. En progressant, il la verra; il aura mal à se prononcer. Rétrospectivement, ils diront que c’est incontestablement à ce moment-là que tout a commencé.

Avis était

Attiré d’abord par le titre, qui promettait un roman plein de bon sens, ce sont surtout les éloges de la presse littéraire qui m’ont entraîné dans cette histoire. Très typique : une femme emménage avec un homme, ils sont légalement mariés, mais leur mariage est constamment en désordre. Elle rencontre le voisin de l’immeuble, marié et père d’un enfant. L’histoire commence par une bonne première impression.

La vérité est qu’on ne meurt pas d’amour, et quand les étincelles jaillissent, il est difficile de ne pas y prêter attention, même lorsque ce nouvel amour devient peu à peu destructeur. Quinze mois d’amour et de passion dont la fin apparemment belle menace de dévorer d’autres vies en cours de route. Facile d’un côté et plus compliqué de l’autre, c’est aussi une question de choix et d’abandon.

Même dans l’idée de ne jamais lâcher sa chance de bonheur, j’ai trouvé ces deux personnages extrêmement égoïstes. Finalement, j’ai eu du mal à vivre avec eux cette histoire fantastique, ces moments d’échange et d’anticipation, ces messages qui donnent envie de respirer à nouveau. J’ai vu très clairement l’angoisse d’une femme prête à pardonner pour sauver son mariage et sa famille.

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